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Posts Tagged ‘pneumonie’

Protégé : MC : Colloïdes chimiques en 1914

16 mars 2011 Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.

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Thérapeutique usuelle des maladies de l’appareil respiratoire, par Alfred Martinet (1910)

Dans cet article, je rapporte quelques extraits du livre « Thérapeutique usuelle des maladies de l’appareil respiratoire, par Alfred Martinet* » sur la pneumonie en général qui pourraient nous intéresser.

Je cite :

III. — TRAITEMENT ANTI-INFECTIEUX.

La pneumonie est une.de ces maladies, devant laquelle il semble que les médecins n’aient jamais pu se résigner à paraître désarmés. En fait, chaque époque, qu’elle s’en défendît ou non, a adopté une méthode systématique, à laquelle elle a attribué bien à tort les guérisons observées le plus souvent malgré elle par le seul effet de l’évolution spontanée.  Et successivement on a vu prôner : la saignée, le tartre stibié, le vésicatoire ; on sait que le temps a fait bonne justice de ces médications dont on peut dire qu’il ne reste rien… qu’un mauvais souvenir.

Notre époque a été celle des sérums; divers ont été essayés; du sérum antidiphtérique (Talamon), du sérum physiologique, des sérums prétendus anti-pneumoniques de Klemperer, de Foa, de Carbone et Scabia, etc., on peut dire comme des médications précédentes qu’ils n’ont donné jusqu’ici, dans la pratique, aucun résultat appréciable.

La seule médication anti-infectieuse à laquelle la clinique thérapeutique ait apporté la sanction des faits et reconnu quelque valeur est la colloïdothérapie, le traitement par les métaux colloïdaux (V. Médicaments usuels).

On ne peut qu’être « fort impressionné par l’action heureuse de l’argent colloïdal :

1° Chez beaucoup de malades qui paraissaient bien difficilement guérissables et qui ont été rétablis rapidement;

2° Dans des cas moins désespérés où la convalescence est apparue beaucoup plus rapidement qu’à l’ordinaire;

3° Dans des cas où la marche de la maladie n’a pas semblé modifiée, mais où l’état général s’est amélioré d’une façon sensible. » Robin et Bardet.

Toutefois il faut bien savoir, et c’est évidemment ce que cette thérapeutique a de décevant, il faut savoir que les résultats ne sont pas absolument constants et qu’après un résultat quasi miraculeux on aura dans un cas semblable, avec une technique en apparence identique, un résultat inappréciable.

En tout état de cause cette médication sans aucun inconvénient constitue certainement la médication anti-infectieuse générale la mieux connue à l’heure actuelle. Il semble qu’il y ait souvent avantage, surtout chez les débilités et dans les cas graves à la pratiquer systématiquement les 3 ou 5 premiers jours de la pneumonie sous forme soit de frictions prolongées, 20 à 3o minutes avec 3 à 5 grammes d’onguent au collargol à 15 pour 100, soit d’injections hypodermiques ou intra-musculaires de 10 centimètres cubes d’argent colloïdal obtenu par voie électrique (électrargol) ou d’une solution stérilisée de collargol à 2 pour 100.

Fin de citation.

*Titre : Thérapeutique usuelle des maladies de l’appareil respiratoire, par Alfred Martinet,…
Auteur : Martinet, Alfred (Dr)
Éditeur : Masson (Paris)
Date d’édition : 1910
Type : monographie imprimée
Langue : Français
Format : In-8° , 295 p., fig.
Format : application/pdf
Droits : domaine public
Identifiant : ark:/12148/bpt6k58141068
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-TE77-946
Relation : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30897825v
Provenance : bnf.fr

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Les vues présentées sont les miennes et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour dans l’article même. Il se pourrait que j’apporte des rectifications ou évolutions dans l’avenir dans un autre article, si de nouveaux éléments viennent contredire mes propos. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à suivre aveuglement.

L’argent colloïdal en thérapeutique, par M. Netter (1903)

Bon, vous connaissez certainement pour la plupart le portail de la nouvelle bibliothèque de France. Sur ce portail, dans leur zone de Recherche, tapez Argent Colloïdal et faites vous plaisir. C’est bien ce que j’ai fait. Il y a matière à étudier pour quelques années je pense.

Toujours est-il que j’ai pris au hasard le journal de l’Union Pharmaceutique daté du 15 janvier 1903 et à la page 40*, que découvre-t-on? Avant toute chose, il faut se rappeler qu’à l’époque (en 1903), l’argent colloïdal était fabriqué soit avec un procédé mécanique ou plutôt chimique et non électro-chimique comme aujourd’hui.

Je cite :

Revue des sociétés savantes

Société Médicale Des Hôpitaux

Page 39

Depuis notre communication du 12 décembre, nous avons continué à employer l’argent colloïdal et nous disposons aujourd’hui de plus de 130 observations recueillies à l’hôpital ou en ville.

Page 40

Nous avons employé l’argent colloïdal dans les maladies les plus diverses. Nous avons déjà mentionné les bons résultats dans la péricardite, la pneumonie, la fièvre typhoïde, la scarlatine, la diphtérie, la méningite cérébro-spinale, la tuberculose pneumonique, l’infection purulente.

Nous ajouterons à cette énumération l’infection puerpérale, l’ostéomyélite, l’appendicite, l’endocardite infectieuse, l’endocardite et la chorée rhumatismale, la phlébite, la pleurésie sérofibrineuse ou purulente, la bronchopneumonie, la bronchite gangréneuse, la grippe, etc. Nous reviendrons sur les indications spéciales à ces diverses maladies.

Il nous a paru que l’action favorable du médicament se manifeste essentiellement par des modifications rapides et profondes de l’état général : retour de forces, diminution de l’abattement, du caractère infectant, de l’état typhoïde, sensation de bien-être, appétit, soif, diurèse.

La température baisse presque toujours, souvent très rapidement, par défervescence, surtout après injections intraveineuses.Dans des cas plus nombreux l’abaissement se fait avec plus de lenteur et demande plusieurs jours. La chute se fait en lysis et souvent la ligne oblique du tracé est directe, d’une seule tenue, dans les ascensions vespérales habituelles. La durée de la maladie est habituellement abrégée, la convalescence plus courte, les complications plus rares.

Nous avons dit, dans notre première communication, que les effets si remarquables de l’argent colloïdal ne nous paraissaient pas pouvoir être expliqués exclusivement par le pouvoir bactéricide et empêchant de l’argent. Nous attachons une importance très grande à son état colloïdal. Des travaux chimiques des plus intéressants dus à Bredig et à ses collaborateurs ont montré que les métaux à l’état colloïdal se comportent comme de véritables ferments (ferments inorganiques). L’action catalytique comme l’avaient pressenti Berzélius et Schoenbein est une véritable fermentation dans laquelle un corps en proportion infime accélère par sa présence les modifications chimiques diverses. Une action de ce genre rendrait bien compte des transformations souvent soudaines et complètes du malade après l’emploi de l’argent colloïdal.

Nous faisons, en ce moment, des expériences qui montreront si cette interprétation est bien fondée, et qui nous amèneront, je l’espère, avant peu, à élargir encore singulièrement le champ d’application de l’argent colloïdal et peut-être aussi d’autres métaux à l’état colloïdal.

*Titre : L’Union pharmaceutique : journal de la Pharmacie centrale de France : organe des intérêts scientifiques, pratiques et moraux de la profession
Auteur : Pharmacie centrale de France et Maison de droguerie Ménier réunies (Paris)
Éditeur : Pharmacie centrale de France (Paris)
Date d’édition : 1860-1940
Contributeur : Dorvault, François (1815-1879). Directeur de publication
Contributeur : Genevoix, Émile. Directeur de publication
Contributeur : Buchet, Charles. Directeur de publication
Contributeur : Cazeneuve, Paul (1852-1934). Directeur de publication
Contributeur : Viron, Lucien-Alexandre (Dr). Directeur de publication
Type : texte , publication en série imprimée
Langue : Français
Format : application/pdf
Droits : domaine public
Identifiant : ark:/12148/cb34378475t/date
Identifiant : ISSN 03724433
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-T44-17
Relation : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34378475t
Provenance : bnf.fr
Description : Variante(s) de titre : L’Union pharmaceutique et le Bulletin commercial réunis
Description : Variante(s) de titre : L’Union pharmaceutique, le Bulletin commercial et le Répertoire de pharmacie… réunis
Description : Périodicité : Mensuel

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Témoignage d’une lectrice sur les bienfaits de l’argent colloïdal sur son bébé

Bon, je suis très content car une lectrice m’a transmis son témoignage et celui ci concerne son bébé de 18 mois. Je vous prie de me bombarder de témoignages. Car pour ceux ou celles qui habitent en Europe, comme vous le savez ou peut-être pas encore la commission européenne a fait le travail nécessaire pour qu’un décret interdise sur le sol européen la vente d’argent colloïdal. Autrement dit, en Europe, il sera plus possible d’en acheter. Alors, ceux ou celles qui fabriquent doivent se dire, « ça va je ne suis pas concerné », mais attendez un peu, votre tour viendra.

L’étau se resserre de jour en jour et ne commettez pas l’erreur qui consiste à dire comme la plupart des gens, cela ne me concerne pas. Ceci dit, je compte écrire un article sur l’interdiction de la vente d’argent colloïdal en Europe. Mais dans cet article, ci-dessous, je vous laisse avec le témoignage de Louise.

Bonjour M. Ghaloustians,

J’ai découvert l’argent colloïdal qu’en mai dernier après une recherche sur internet à propos des pneumonies et otites à répétition chez les bébés. Mon fils de 18 mois maintenant n’a pas cessé d’être malade depuis le mois d’août 2009. Presque toutes les 2 semaines nous étions à la clinique médicale soit pour une otite (8 en tout), une grippe, une bronchite et de janvier à mai pour 3 pneumonies dont pour une nous avons dû l’emmener d’urgence à l’hôpital. Évidemment, nous étions très inquiets. On lui a fait passer plusieurs tests (sanguins, ORL, Asthme et fibrose kystique). On lui a même fait poser des tubes dans les oreilles afin d’éviter d’autres otites.

Néanmoins, une semaine après la pose des tubes, une autre pneumonie est apparue. Ainsi, encore une autre série d’antibiotique. Au bout des 10 jours de traitement, il se portait beaucoup mieux. Son nez ne coulait plus et il toussait de moins en moins. Toutefois, 4 jours après l’arrêt du traitement, il se remet à couler du nez et à tousser. Découragée, j’appelle son médecin pour savoir quoi faire, mais ce dernier ne semblait pas très réceptif et me balance ses statistiques de 8 à 9 rhumes par année pour des enfants fréquentant les garderies.

Frustrée par sa réponse, je me mets à la recherche d’information sur internet et voilà que je tombe sur l’argent colloïdal qui semble faire des miracles. Un peu sceptique, je lis sur le sujet, puis, je décide d’acheter le produit en question pour l’essayer. Le soir même, j’en donne à mon fils et 1 heure après son nez avait cessé de couler. Je lui en redonne avant le coucher et il respirait parfaitement bien sans ronflement (ce qui n’était pas le cas, la veille). Le lendemain, je répète le traitement car son nez coulait toujours, mais plus clair et une autre dose juste avant son départ pour la garderie. Enfin, au bout de 3 jours, son nez ne coulait plus et il ne toussait plus du tout. Je lui en ai donné pendant 2 semaines matin et soir et j’ai ensuite diminué, puis arrêté car il se porte à merveille. Au début juin nous avions rendez-vous à la clinique de l’asthme et ils ont fait une autre radio des poumons et les clichés étaient clairs. Il ne restait aucune trace de la pneumonie qu’il avait eu au mois de mai.

Depuis, il se porte à merveille, peut-être un peu trop toutefois, une vraie boule d’énergie cet enfant !!!

Louise,

Je vous remercie pour votre témoignage Madame, j’ai quatre enfants qui sont plus âgés que votre fils et je peux vous dire que depuis 10 mois maintenant, dans notre famille, ma femme et moi-même avons soigné tous les bobos, grippe, rhume, etc. qu’avec de l’argent colloïdal que je fabrique chez nous. Pour ainsi dire, notre médecin de famille très ouvert d’esprit n’en revient pas, il ne nous voit que pour les certificats médicaux des enfants pour les différents sports ou activités. Il a dit récemment à ma femme qu’il croyait fortement aux bienfaits de l’argent mais qu’il ne peut le prescrire de peur d’être trainé devant les tribunaux.

La médecine de nos jours est un business très juteux, en occident, l’objectif n’est pas de guérir entièrement les citoyens, c’est de les maintenir suffisamment en vie pour qu’ils reviennent. Je suis sûr que je n’apprends rien à personne, mais pour la plupart d’entre nous, il est très difficile d’admettre que l’être humain est aussi pourri et pourtant, je vous dis que je ne suis pas loin de la vérité voire même complètement dans la vérité.

Certains médecins sont tellement formatés par les années d’études ou d’autres tellement muselés et un petit nombre en marge. J’ai écrit un article à lire également Que penser de la recherche médicale ou scientifique?

 

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