Pour suivre les écrits merci de vous rendre sur http://www.electrocolloidal.com/blog ou http://www.argentcolloidal.org
EM : Expérience avec des circuits oscillants Lakhovsky sur un citronnier et un oranger suite
AC : Nouveau témoignage d’un nouvel abonné
A : Message d’une abonnée : Moyens naturels de vous protéger des crises cardiaques
AC : Les mesures indiquées par différents appareils suite
AC : Témoignage d’un abonné : Argent ionique/colloïdal et flore intestinale
G : Comment se désabonner du « Newsletter » ou de la notification de nouveaux articles ?
AC : Les mesures indiquées par différents appareils
AC : Témoignage d’un abonné : Traitement d’eczéma à l’aide de l’argent ionique/colloïdal
AC : Un abonné témoigne : ALTERNATIVE à l’EAU DISTILLEE
EM : L’hiver de 1930 et l’activité solaire par M. Henri Mémery
AC : Question d’un abonné au sujet du bouchon à vin suite
EM : Une expérience avec des circuits oscillants Lakhovsky sur des pieds de fraise (suite)
Le 19 juillet de cette année, j’avais rapporté une expérience que j’ai menée sur des pieds de fraises. Il y a trois mois j’ai décidé de retirer le circuit en cuivre des pieds qui donnaient des fraises pour le poser sur les deux autres qui en donnaient pas. Pour rappel, les pieds sont exposés plein sud derrière une baie vitrée. Quand il y a du soleil, il fait entre 20-22° en hiver.
Ci-dessous, une photo des pieds qui ne donnent pas de fraises auxquels j’ai posé un circuit ouvert en cuivre et des pieds qui donnent sans circuit. On remarque dans les deux cas, que les feuilles sont grandes, verdoyantes, belles, hautes. Les feuilles sont dirigées vers la lumière. Je n’ai pas donné d’engrais depuis que j’ai interverti le port du circuit entre les deux pieds. Vous me direz que la saison des fraises est passée, or il semble que les conditions dans lesquelles ces deux pieds se trouvent, permettent d’obtenir des fraises, la preuve avec l’autre pied qui ne porte pas de circuit oscillant.
Je constate que le port du circuit oscillant (voir spécifications dans le premier article) n’a pas d’influence sur la floraison, ni sur le fruit. Le fraisier qui donnait des fruits avec circuit continue à en donner sans. Les fraisiers qui ne donnaient pas sans circuit, ne donnent toujours pas avec circuit. De plus, les fraisiers qui ne donnaient pas de fruits, donnaient des fleurs mais plus maintenant.
Je rappelle que je rapporte mes expériences à titre d’information, considérez ces écrits comme un journal dans lequel je consigne mes expériences.
A suivre …
Les vues présentées sont les miennes et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour dans l’article même. Il se pourrait que j’apporte des rectifications ou évolutions dans l’avenir dans un autre article, si de nouveaux éléments viennent contredire mes propos. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à suivre aveuglement.
AC : Nombre d’ions d’argent présent dans une solution d’argent ionique/colloïdal à 5 ppm
Pour connaître de façon approximative le nombre d’atomes d’argent et d’ions d’argent dans une solution d’argent ionique/colloïdal à 5 ppm, il suffit de faire un calcul simple que les chimistes ont l’habitude de faire.
En partant de l’hypothèse que dans une solution ionique/colloïdale d’argent, nous avons des ions Ag+ et des atomes d’argent et que les ions d’argent sont majoritairement la cause de la conductivité exprimée en ppm.
Alors dans une solution à 5ppm, nous avons 5 mg/litre d’ions Ag+. Par définition, une mole d’une espèce chimique (ions, molécules, atomes etc.) contient 6,02 * 10 puissance 23 espèces. C’est comme si, je vous demandais, dans une douzaine d’œufs, ou une douzaine d’objets, il y en avait combien. Vous me répondriez 12. Peu importe si on parle d’œufs ou de quelque chose d’autres, une douzaine c’est 12, eh bien une mole c’est 6,02 * 10 puissance 23.
La masse molaire de l’atome d’argent est 108 (107,9**) grammes par mole, c’est-à-dire 602 000 000000000 000000000 (602 mille milliards de milliards) atomes d’argent pèsent 108 g. Le nombre de moles d’ions Ag+ contenus dans une solution à 5ppm (5 mg/litre ou encore 5* 10-3g/litre) est donc égal à :
nombre de moles (de Ag+) par litre = 5 * 10-3 (g/litre) divisé par 108 (g/mol*) = 4,63*10-5 mol/litre
Ce qui revient à exprimer la concentration en terme de moles par litre au lieu de ppm, 5 ppm = 4,63 10-5 mol/litre. C’est-à-dire encore 278726*1014 (27.872600000 000000000 ou 28 milliards de milliards) d’ions Ag+ par litre de solution à 5 ppm. Et cela sans compter les particules d’argent.
Le calcul ci-dessus est à titre d’information, il se peut que le lecteur averti trouve le raisonnement erroné (quoique), l’objectif est de sensibiliser ce dernier au nombre potentiel d’ions d’argent présent dans une solution à 5ppm.
* l’unité de la mole s’écrit mol.
**L’extrait du tableau périodique des éléments.
Les vues présentées sont les miennes et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour dans l’article même. Il se pourrait que j’apporte des rectifications ou évolutions dans l’avenir dans un autre article, si de nouveaux éléments viennent contredire mes propos. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à suivre aveuglement.
Protégé : AC : Question d’un abonné au sujet du bouchon à vin
Protégé : A : Solvarome suite
Protégé : AC : Témoignage de « non rage de dent » avec une carie
Protégé : AC : Question d’une abonnée au sujet de la toxicité de l’argent ionique/colloïdal sur son enfant de 2 mois
Protégé : EM : La cause de la fièvre vue autrement, Mr Lakhovsky (II)
Protégé : AC : Témoignage d’un abonné
Protégé : A : Première expérience avec le Solvarome
A : Solvarome
Je vais écrire une série d’articles sur le Solvarome. Ce produit est un concentré de plantes. Alors que certainement beaucoup de lectrices et lecteurs le connaissent, je l’ai découvert il y a peu de temps, je m’en suis acheté et il fait partie désormais de notre pharmacie à côté de l’argent ionique/colloïdal, le zinc, le magnésium etc.
Je vais utiliser la lettre A (comme autres) pour signaler les différents produits que je croise au fil de mes lectures comme ce fut le cas du Solvarome. Bien évidemment, je n’ai aucune prétention si ce n’est de consigner mes lectures et mes expériences le plus objectivement possible (ce qui va être très dur, comment en tant que humain rester objectif ?). Sur internet, vous avez la possibilité de trouver plein de pages qui parlent de ce produit et notamment le site http://www.solvarome.com/ qui m’a permis de m’en procurer.
Mon objectif à travers mes écrits sera de vérifier les dires concernant le Solvarome. Je vais donc vérifier si ce produit est aussi prodigieux comme en parle dans son livre Jean Palaiseul. La nature à travers les plantes nous a légué une richesse incommensurable de remèdes et de poisons, comme le disent les deux médecins Dioscoride (qui écrivit un traité sur les plantes médicinales) et Dr A. Taylor (de l’université d’Austin au Texas) dont vingt siècles les séparent :
« Que la connaissance des simples soit nécessaire en médecine, il n’y a personne qui affirme le contraire, car elle (la connaissance) est tellement conjointe qu’il n’y a partie en la médecine qui n’en soit grandement soulagée »
Les essences nous offrent plus de composés nouveaux que tous les chimistes du monde ne pourraient en synthétiser pendant mille ans d’efforts
Dr A. Taylor
Les vues présentées sont les miennes et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour dans l’article même. Il se pourrait que j’apporte des rectifications ou évolutions dans l’avenir dans un autre article, si de nouveaux éléments viennent contredire mes propos. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à suivre aveuglement.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.